Centre Pompidou, la genèse & Le Centre de création industrielle

en développement

Centre Pompidou, la genèse

en développement

Rina Sherman

Grands portraits, témoins de notre temps

HD, couleurs, 90 min, k éditeur, Paris, 202…

Une plongée inédite dans la naissance du Centre Pompidou, un projet visionnaire porté par Georges Pompidou, qui a redéfini la place de l’art contemporain et de la culture dans le monde.

Conçu comme un espace pluridisciplinaire inédit, ce projet ambitieux a donné naissance à un carrefour unique dans lequel se croisent le Musée national d’art moderne, la Bibliothèque publique d’information, le Centre de création industrielle et l’Institut de recherche et coordination acoustique/musique, autant de piliers d’une nouvelle approche culturelle.

Visionnaire, Pontus Hultén orchestre un dialogue inédit entre ces disciplines, rendant la culture accessible à tous. Beaubourg incarne ainsi une utopie culturelle et démocratique, où la créativité et l’expérimentation façonnent l’avenir. Parallèlement, Pierre Boulez, à l’IRCAM, a transformé la musique en un territoire d’expérimentations sonores et technologiques inédites.

Racontée par ceux qui l’ont façonnée et enrichie, et des archives rares, le film dévoile l’effervescence artistique et intellectuelle des années 1970, qui a donné vie à cette utopie architecturale signée Renzo Piano et Richard Rogers. Le film explore un espace devenu un symbole mondial, une utopie concrète où l’art, la musique et la création continuent de réinventer notre rapport au monde.

titre – Centre Pompidou, la genèse (lien vers dossier complet)
collection – Grands portraits, témoins de notre temps
durée – 90 min
genre – documentaire, grand format / format 1 heure
classement – G – Public général, spécialisé, universitaire
année – 202… en cours
langue – français
pays d’origine – France
format – 4K, archives, 25fps, 1.66:1, son mono / stéréo
VOFR – voix et narration française
VOVA – voix ST anglais et narration anglaise
VI – voix FR et narration VF et / ou VF

contact vente & distribution

valeurs : document, histoire, portrait, éducatif, recherche

hashtag : #kediteur #centrepompidou #design #muséedartmoderne #ircam #bpi #graphisme #architecture #cci #beaubourg #pompidou #claudemollard

Centre Pompidou, la genèse / Rina Sherman

 

Le Centre de création industrielle CCI

– film de création en développement

Rina Sherman

Grands portraits, témoins de notre temps

HD, couleurs, 90 min, k éditeur, Paris, 202…

La création du Centre de création industrielle (CCI) constitue un étape fondamentale dans l’histoire du design en France. Fondé en 1968, le CCI devient une référence pour les disciplines de la conception industrielle, avec une exploration des domaines de l’urbanisme, du design graphique, de la communication visuelle, du design industriel, de la computation, ainsi que des problématiques culturelles et sociétales. Centré sur les « fonctions collectives », son champ d’intervention, traduit une vision avant-gardiste et holistique du design. La fondation du CCI repose sur l’impulsion de personnalités comme François Mathey, conservateur de l’Union centrale des arts décoratifs (UCAD), et François Barré, haut fonctionnaire engagé dans la promotion du design, avec le concours de Yolande Amic et Yvonne Brunhammer. 

Avant la création du CCI, quelques initiatives témoignent de l’intérêt croissant pour le design fonctionnel en France. L’exposition « Formes Utiles – Objets de notre temps » en 1949 incarnant un nouvel art de vivre en réunissant des objets conjuguant esthétique et fonctionnalité, réflexion approfondie en 1963 avec l’exposition « Formes industrielles ». En 1968, malgré le contexte de turbulences sociales, l’exposition « Les Assises du siège contemporain » explore le mobilier moderne, bien qu’elle n’ait pas rencontré le succès escompté.

L’exposition inaugurale, « Qu’est-ce que le design ? », en 1969,  rassemble des designers tels que Joe Colombo, Charles Eames, Verner Panton, Roger Tallon et Fritz Eichler, autour des objets du quotidien tout en engageant une réflexion destinée au grand public. Suivent des expositions thématiques telles que « Image-Son » (1971), « Outillage » et « Le Repas » (1972), auxquelles contribue Raymond Guidot.

En 1971, le CCI devient l’un des départements fondateurs du Centre Pompidou. Ce rattachement marque la volonté de l’État français de structurer une politique publique en faveur du design, renforçant le rôle du CCI de prescripteur du design sur la scène nationale et internationale.

Durant les décennies 1970 et 1980, le CCI se distingue par une programmation d’expositions pluridisciplinaires, dont notamment « Bunker Archéologie » (1976), de Paul Virilio, qui examine les structures défensives du mur de l’Atlantique. Certaines, comme « La Rue, l’espace collectif, ses signes, son mobilier » (1970), croisent design urbain et société, tandis que d’autres de Jean Dethier, telles qu’« Architectures alternatives aux USA » (1975), explorent la contre-culture américaine. « Le Temps des gares » (1978) analyse le rôle des gares comme lieux emblématiques de la société industrielle, et que « Des architectures de terre » (1981) valorise les constructions en terre crue, traditionnelles et savantes. , ou encore « Les Immatériaux » (1985), qui porte une réflexion sur la matérialité à l’ère des nouvelles technologies.

Le CCI mène aussi des actions variées qui renforcent sa mission de démocratisation et de structuration du design en France. Il produit des fiches-produits inspirées des pratiques anglaises, élabore un répertoire des praticiens, publie à partir de 1975 la revue « Traverses », et développe des expositions itinérantes.

À travers son action, le CCI a su affirmer le rôle du design dans la transformation des sociétés modernes et inscrire cette discipline dans les préoccupations économiques, culturelles et sociales du XXe siècle.

Le Centre de création industrielle / Rina Sherman

titre – Le Centre de création industrielle CCI (lien vers dossier complet)
collection – Grands portraits, témoins de notre temps
durée – 90 min
genre – documentaire, grand format / format 1 heure
classement – G – Public général, spécialisé, universitaire
année – 202… en développement
langue – français
pays d’origine – France
format – 4K, archives, 25fps, 1.66:1, son mono / stéréo
VOFR – voix et narration française
VOVA – voix ST anglais et narration anglaise 
VI – voix FR et narration VF et / ou VF

contact production, vente & distribution

valeurs : document, histoire, portrait, éducatif, recherche

hashtag : #kediteur #centrepompidou #design #quotidien #objets #graphisme #architecture #cci #beaubourg #pompidou #artsdeco


 

Plan de financement

Par film documentaire de création d’une durée de 90 min

Nature du film :

Documentaire de création avec une forte dimension artistique et culturelle, intégrant des archives visuelles, sonores et documentaires.

Particularités :

Usage d’archives du Centre Pompidou (Bibliothèque Kandinsky), de l’INA et d’autres institutions, fonds privés.
Écriture originale et traitement créatif.
Diffusion télévisée prévue et potentiel de distribution en festivals ou en plateformes VOD.

Structure du financement

Partenaire principal : Chaîne de télévision (diffuseur)
Nom du diffuseur : Arte / France Télévisions.
Apport financier : Montant ou pourcentage, typiquement 20-40 % du budget.

Nature de l’engagement :

Aide à la production (préachat ou co-production).
Engagement à diffuser le documentaire.

Partenaires institutionnels et fonds d’archives

Centre Pompidou
INA (Institut National de l’Audiovisuel)
Apport financier via une aide à la production ou une réduction des coûts d’accès aux archives.
Mise à disposition d’archives artistiques spécifiques.
Soutien financier possible via des fonds culturels ou un mécénat.

Fonds publics

CNC (Centre National du Cinéma et de l’Image Animée)
Aide au développement (écriture, repérages).
Aide à la production de documentaires de création.
Autres aides régionales ou spécifiques selon la localisation (Ile de France).
Fonds européens (Europe Créative)
Soutien aux œuvres culturelles et audiovisuelles transfrontalières.

Coproductions internationales

Eurimages.
Mécénat et partenariats privés
Fondations culturelles et entreprises
Fondation d’entreprise (exemple : mécénat lié à l’art ou à la mémoire historique).
Sponsoring en lien avec des institutions ou entreprises privées intéressées par le sujet.

Distribution et exploitation

Ventes internationales : Prévente à des chaînes étrangères ou plateformes internationales comme Netflix, Amazon Prime, etc.
Exploitation complémentaire :
Diffusion en festivals.
Éditions DVD/Blu-ray ou livre en accompagnement du documentaire.
Droits de VOD ou SVOD.

Répartition budgétaire estimée par film 150 000

Écriture et développement                     20 000 13%
Recherche et acquisition des archives  20 000 13%
Tournage (matériel, équipe)                   60 000 40%
Post-production (montage, mixage)      30 000 20%
Droits d’exploitation des archives          15 000 10%
Promotion et distribution                          5 000 4%

 

Rina Sherman : auteur pluridisciplinaire à la croisée de l’art et de la culture

Diplômée du conservatoire de musique et formée à l’histoire de l’art et à l’anthropologie sociale auprès de David Hammond Tooke et Johnny Clegg, Rina Sherman débute en réalisant des enregistrements d’opéra. Très tôt, elle développe une pratique hybride mêlant poésie, cinéma, photographie, écriture et performance, rassemblée dans le Fonds Rina Sherman Files, un corpus d’œuvres protéiformes retraçant son parcours unique.

Jeune artiste-auteure, sa rencontre avec Jean Rouch, pionnier du cinéma ethnographique, marque une étape décisive dans sa vision artistique et sa méthode de travail. Dès le début de son exil à Paris, elle tisse des liens durables avec les États-Unis, notamment avec la scène artistique de New York et puis entreprend plusieurs voyages-tournages en Californie, au Canada et dans les territoires du nord-ouest. En 2024, elle présente à la Emily Harvey Foundation de New York un cinéportrait consacré à Phill Niblock dans le cadre des programmes d’Experimental Intermedia.

Après un doctorat sous la direction de Jean Rouch, elle passe sept ans en immersion auprès des Ovahimba de Namibie et d’Angola. Cette expérience transforme son art, combinant documentaire et photographie pour explorer les récits culturels. Sa collection Les Années Ovahimba, conservée depuis 2014 à la BnF, qui lui consacre une exposition multimédia en 2015. Actuellement, elle développe avec la BnF et l’Ambassade de Namibie un projet de don d’archives aux archives nationales namibiennes, accompagné d’expositions en Namibie et à Paris.

Lauréate du Prix Médicis Hors les Murs et de la bourse Lavoisier, Rina Sherman est l’auteur de nombreux ouvrages, dont Ma vie avec les Ovahimba (2020, 2e éd.) et En partance (2021).

Fondatrice de k éditeur, elle a publié des monographies et dirige la collection Dans le sillage de Jean Rouch (EMSH).

Dans son art du cinéportrait, elle conjugue sensibilité et rigueur technique pour produire des œuvres où l’identité culturelle se révèle dans les moindres détails. Parmi ses récents réalisations figurent des portraits de figures majeures du design et de l’art contemporain, tels que Jean Widmer en coproduction avec le Centre Pompidou, Peter Knapp et Philippe Apeloig, Jean-Philippe Lenclos et Etienne Robial.

Dans le cadre de la collection Grands portraits, témoins de notre temps, Rina Sherman développe notamment des projets sur la Genèse du Centre Pompidou et le Centre de création industrielle, incluant des tournages réalisés au fil du temps avec Claude Mollard, Jean-Hubert Martin, Germain Viatte, Margo Rouard-Snowman et Nicholas Snowman…

En parallèle, elle développe des projets d’anthropographie filmée au long cours, documentant des grands acteurs culturels comme Claude Mollard ou des lieux emblématiques comme le Musée des Arts Forains en suivant depuis plusieurs années son créateur, Jean-Paul Favand, ou encore un grand portrait immersive d’après trois années de tournages avec Michou, son cabaret, le spectacle de transformistes et des Michettes.

Rina Sherman se tourne désormais vers une exploration de l’intelligence artificielle comme un outil de création, réunissant ses expériences analogiques et numériques pour enrichir son œuvre et inscrire son art dans une contemporanéité innovante.

Rina Sherman
k éditeur
32 avenue de Saint-Mandé
75012 Paris
Tél. : 01 45 56 92 01
Portable : 06 59 33 28 24
www.rinasherman.com
www.kediteur.com

Retour en haut